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Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran - Referat
Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran
Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, un livre d’ Éric-Emmanuel
Schmitt, raconte l'histoire d'un enfant qui a onze ans et qui s'appelle
Moise. Il habite dans la rue bleue à Paris, une rue juive. Il y habite
dans un appartement très triste avec son père, un avocat qui est
souvent
mélancolique. La mère de Moise est partie peu de temps après sa
naissance. C’est alors le fils qui fait le ménage et les courses pour
son père tous les jours. Son père lit et travaille toute la semaine, il
ne s’intéresse pas à Moise. Il lui parle aussi tout le temps de son
frère Popol qui n’a jamais commis une faute. « Popol était très assidu,
á l’école. Il amait les maths, il faisait pas pipi á côté des
toilettes.
Popol, il aimait tant lire les livres que papa.
» Moise ne sait pas qu’il n’a pas de frère.
Un jour, Moise fait la connaissance de Monsieur Ibrahim, l’épicier
arabe
de la rue bleue. Dans l’épicerie de monsieur Ibrahim, Moise fait ses
courses pour son père. Monsieur Ibrahim a toujours été vieux et il
connaît bien beaucoup de secrets – aussi les secrets du bonheur et du
sourire! Et il dit tout le temps qu’il sait ce qu’il y a dans son
Coran.
« Il est dans son épicerie, depuis huit heures du matin jusque tard
dans
la nuit, arc-bouté entre dans sa caisse et les produits d’entretien,
une
jambe dans l’allée, l’autre sous les boîtes d’allumettes, une blouse
grise sur une chemise blanche, des dents en ivoire sous une moustache
sèche, et des yeux en pistache, verts et marron, plus clairs que sa
peau
brune tachée par la sagesse. » (p.8 f)
Le père de Moise le soupçonne de voler son argent. A un moment, Moise
commence de voler de l’argent à Monsieur Ibrahim. Mais Monsieur Ibrahim
sait ce que Moise fait dans l’épicerie… Et que fait Moise ? Il pense
très fort, au moment de payer : » Après tout, c’est qu’un Arabe ! »
(p.10)
Un jour monsieur Ibrahim dit, qu’il n’est pas un Arabe et qu’il vient
du
Croissant d’Or. A ce moment-là commence l’amitié entre Moise et
Monsieur
Ibrahim. Ce dernier dit si Moise veut voler, il doit voler chez lui.
Lui
donnerait des trucs pour enlever de l’argent de son père sans qu’il
s’en
rende compte. Moise fait ce que Monsieur Ibrahim a dit et gagne 200
Francs pour visiter les dames dans la Rue du Paradis.
Monsieur Ibrahim n’appelle pas le garçon par son vrai nom, « Moise »,
il
l’appelle seulement « Momo », c’est moins impressionnant.
Un jour le père de Momo le quitte en lui laissant une lettre et tout
l’argent qui lui restait. Et en plus une liste avec quatre noms que
Momo
ne connaît pas. Mais Momo ne dit à personne que son père l’a quitté, il
fait la cuisine pour deux, comme si son père était là. Seulement pour
tromper les voisins…
Momo lit dans son nouveau livre, un exemplaire du Coran et un cadeau de
Monsieur Ibrahim. Il dit à Momo que c’est mieux de sourire de temps en
temps. A cause de son sourire Momo pourrait obtenir beaucoup de
/>
choses. Par exemple les dames de la Rue du Paradis !
Monsieur Ibrahim et Momo vont en Normandie. Quand Momo a dépensé tout
l’argent de son père, il commence à vendre les livres de celui-ci.
Un matin, la police frappe à la porte. Momo a peur que la police sache
que son père l’a quitté. Mais les policiers disent que le père de Momo
est mort. « Il s’est jeté sous un train près de Marseille » (p.45) Momo
leur donne la liste avec les quatre noms. Et puis il commence à tout
changer dans l’appartement. Et un jour une femme entre dans
l’appartement. Elle cherche Moise et demande Momo s’il sait où est
Moise. Momo dit, qu’il s’appelle Mohammed et que Moise l’a quitté. La
femme sait que Mohammed est son fils Moise. Mais elle joue le jeux que
Momo joue avec elle. Et en plus la mère de Moise dit, qu’elle n’a
jamais
eu d’enfant avant Moise.
Après un peu de temps Monsieur Ibrahim adopte Momo et veut partir sur
le
Croissant d’Or avec lui. Monsieur Ibrahim a un permis de conduire et
veut acheter un véhicule. Monsieur Ibrahim a peur d’aller en voiture et
il prend des leçons d’auto-école avec Momo. Momo n’a pas l’âge et donc
c’est Monsieur Ibrahim qui apprend et Momo s’installe « sur la
banquette
arrière sans perdre une miette des instructions du moniteur. » (p.59)
En été, les deux amis commencent le voyage – Momo
s’installe au volant. Sans but précis ni carte, ils se promènent en
Europe et voient beaucoup de villages, villes et des tekkés (un tekké
c’est comme un dancing).
Maintenant Monsieur Ibrahim est tout bouleversé et il veut d’abord y
aller seul. Momo l’attend sous un olivier jusqu’à minuit. Il marche
jusqu’au prochain village. Quand il arrive sur la place les gens l’
emmenent dans une grande maison. Monsieur Ibrahim est dans la maison,
il
est étendu sur un lit et il lit. Pourtant on sent qu’il va bientôt
mourir. Car il a eu un accident de voiture, qui s’est plantée contre un
mur. Monsieur Ibrahim dit que le voyage s’arrete ici. Momo reste à côté
de Monsieur Ibrahim jusqu’à celui-ci meure.
Momo rentre à Paris et découvre que Monsieur Ibrahim a tout prévu. Il
s’est émancipé et Momo hérite de son argent, de son épicerie, et de son
coran. Dans son Coran il y a deux fleurs séchées et une lettre d’
Abdullah, l’ami de Monsieur Ibrahim.
Tous les lundis, Momo, sa femme et ses enfants vont chez la mère de
Momo. « Et voilà, maintenant il est Momo, celui qui tient l’épicerie de
la rue bleue, la rue bleue qui n’est pas bleue. Pour tout le monde il
est l’Arabe du coin. Arabe, ça veut dire ouvert la nuit et le dimanche,
dans l’épicierie. »
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